Le militant anti- gaz de schiste, Mohad Gasmi, a été condamné jeudi 30 juin, par la cour d’appel d’Adrar, à trois ans de prison ferme et une amende de 300 000 Da, pour « apologie d’actes terroristes ».
Cette décision a suscité une vague d’indignation au sein de l’opinion publique mais parmi aussi les organisations internationales pour la défense des droits humains. Amnesty International a été la première à réagir en adressant à Abdelmadjid Tebboune, une pétition où elle réclame à la libération du militant.
Pour rappel, Mohad Gasmi a également été condamné en appel dans une autre affaire à trois ans de prison dont une année ferme.
Chaque week-end, recevez le meilleur de l'actualité et une sélection d'événements en vous inscrivant à notre bulletin d'informations.