Depuis queslques jours, la ville de Mostaganem vit au rythme des arrestations tous azimuts. Après Dalila Touat et Oussama Tifour, la jeune militante du Hirak, Hakima Bahria a, de nouveau, été convoqué par la police, hier, a indiqué le Comité national pour la libération des détenus.
Cette dernière, âgée alors de 20 ans, a, pour rappel, avait déjà été emprisonnée, en mai 202, pour au moins sept chefs d'inculpations, à savoir “atteinte à l'unité nationale”, “incitation à attroupement non armé”, “attroupement non armé”, “publication de fausses informations”, “outrage à corps constitué”, “publications pouvant porter atteinte à l'unité nationale” et “mise en danger la vie d'autrui”*.
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