Deux semaines après avoir lancé un appel pour la construction d'un front contre la répression et pour la défense des liberté, les forces du pacte pour une Alternative Démocratique (PAD) a tenu sa première réunion élargie, vendredi 13 novembre à Alger.
Lors de cette rencontre à laquelle ont prit part, des acteurs politiques, associatifs et autres collectifs de défense des détenus d'opinion, il a été question de “la situation intolérable des atteintes graves aux libertés et des conditions de vie effroyables de l'immense majorité des populations”, indique un communiqué publié c dimanche.
Aussi, les participants ont réitéré leur intention de mettre en place “un cadre politique de défense des libertés démocratiques” qui selon le document, exige “la libération sans conditions de tous les détenus d'opinion, l'arrêt de la répression et le respect des libertés fondamentales.”
Enfin, tout en dénonçant “l'instrumentalisation de la justice”, les signataires du communiqué réitèrent leur exigence de "l'abrogation de toutes les lois liberticides et plus particulièrement l'article 87bis du code pénal".
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