Lors du procès en appel qui s’est déroulé mardi 17 mai, le procureur de la République près la cour de Béjaïa a réclamé « le durcissement de la peine » prononcée en première instance contre le journaliste Abdelwahab Moualek.
Poursuivi pour « incitation à attroupement non armé », le journaliste indépendant avait été condamné par le tribunal correctionnel de Sidi Aïch, à une peine de « six mois de prison avec sursis ».
Il avait également écopé de trois mois de prison avec sursis, dans une autre affaire, avant que sa peine en soit réduite à une amende de 20 000 Da pour « incitation à attroupement non armé ».
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