Gaïd Salah sait désormais que son sort est scellé. Il a livré son avenir à un régime où la trahison est la règle et où le renvoi d’ascenseur a une durée aussi limitée que le temps d’une prestation de serment et d’une remise de médaille du mérite.
Ce régime liberticide a démontré depuis 1962 sa force de renouvellement mais aussi ses faiblesses face aux contestations populaires. Le Système ne tombera que si nous réussirons deux choses : la Révolution populaire doit rester compacte et unie. 2- Nous devons dénoncer les traîtres, déjouer les trahisons et les discours contre révolutionnaire qui veulent nous conduire à la table de négociation avec un régime qui n’est prêt à offrir que participation à la prébende, partage de la rente et intégration de sa clientèle sur le dos de la contestation populaire et pacifique du 22 février.
Ce sont ces promesses qui font courir, ces derniers jours, quelques membres du «Hrak» à la discussion avec ce pouvoir assassin des libertés. Les décisions de justice des tribunaux de Sidi M’Hamed et de Tlemcen rendues au moment même de la prestation de serment du Fake président Tebboune sont révélatrices des velléités du régime. Nous devons désormais casser la logique de l’échec recommencé pour lui substituer la victoire populaire et l’accession définitif des Algériens à la liberté , aux droits fondamentaux et à la démocratie.
Contrairement à ce qu’ils veulent nous faire croire, ils sont plus faibles que jamais, nous sommes plus forts que jamais ! La seule chose que nous devons accepter de négocier est le départ définitif de la junte militaire et la remise des clefs du pouvoir à un État civil.
ALGÉRIE DEBOUT, PLUS JAMAIS AU GARDE-À-VOUS !
Chaque week-end, recevez le meilleur de l'actualité et une sélection d'événements en vous inscrivant à notre bulletin d'informations.