En plus de sa condamnation à une peine privative de liberté, Ali Ghediri a également été « privé de ses droits civiques et politiques pendant une durée de cinq ans ».
Dans un communiqué publié hier (mercredi), le Collectif de défense de Ali Ghediri, s’est dit surpris de découvrir qu’en plus de sa condamnation à une peine privative de liberté, l’ancien général à la retraite a également été « privé de ses droits civiques et d’exercer de la politique pendant une durée de cinq ans à partir du jour où prendra fin sa peine de prison», a annoncé le Collectif de défense du détenu d'opinion. Une sanction supplémentaire, souligne ce dernier, qui « n’a pas été énoncé lors du verdict », rendu le 28 janvier dernier, à l’issue de son procès en appel.
Pour rappel, Ali Ghediri a été condamné en première instance par le tribunal criminel de Dar Beïda, à une peine de « quatre ans de prison ferme », confirmée en appel, et ce, pour « participation en connaissance de cause à une entreprise de démoralisation de l'armée ayant pour objet de nuire à la défense nationale ».
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