La militante et ancienne porte-parole des chômeurs, Dalila Touat, vient d’être condamnée ce mercredi 17 mars, par la cour d’appel de Mostaganem, à «deux mois de prison avec sursis assortie d’une amende de 20 000 Da», dans chacun des deux dossiers où elle a écopé de «deux ans de prison ferme» pour le premier et «18 mois ferme pour le second», en première instance.
En liberté provisoire depuis le 17 février, Dalila Touat était, pour rappel, accusée dans la première affaire d’«avoir incité les citoyens à ne pas voter lors du référendum constitutionnel du 1er novembre 2020» et d’«outrage à corps constitué, diffamation et atteinte à l’ordre public via des publications Facebook», dans la deuxième.
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