Dans un communiqué publié jeudi 14 juillet, la présidence de la République est revenue avec plus de détails, sur les mesures d’apaisement décrétées le 4 juillet à l’occasion de la fête de l’indépendance, en faveur des détenus d’opinion.
44 militants du Hirak seulement « se trouvant en détention préventive pour des actes d’attroupement et faits connexes », sont en effet concernés par ces mesures, précise le document.
Dans les faits, plus de 300 citoyens se trouvent actuellement dans les prisons à travers le pays, pour leur engagement dans la révolution populaire du 19 février 2019. Depuis le 4 juillet, seule une dizaine a été libérée, selon un bilan non exhaustif du Comité national pour la libération des détenus. il s’agit de
Il s’agit de Abdelkader Belarbi (Tlemcen), Fateh Kaced (Tizi Ouzou), Massinissa Rezig et Yahia Semache (Bouira), Lyes Sellidj (Alger), Omar Boudjema (M’sila), Abderazak Khaldi Belaid (Guelma), Abdelaziz Bekakria (Tébessa) et Mohamed Gacem (Saïda).
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