Depuis l'arrivée de Tebboune, les arrestations de militants ont été multipliés par trois pour de simples écrits sur les réseaux sociaux.
Des journalistes emprisonnés, des sites internet censurés, facebook et twitter sous haute surveillance et des jours de plus en plus sombres pour les Libertés.
À côté de cela, la Issaba voit ses peines diminués et de nombreux corrompus libérés ou remis en liberté provisoire sans procès ni poursuites.
Le cas le plus choquant est certainement celui du patron de Condor récemment sorti de prison alors que son entreprise a fraudé les douanes Algeriennes, beneficié d'indues exonérations d'impôts, généré de la surfacturation et détourné plusieurs milliards de dollars qui dorment encore et tranquillement dans des paradis fiscaux.
À quoi est due cette impunité ?
En attendant, des opposants, des journalistes, des activistes, de simples citoyens utilisateurs des réseaux sociaux sont derrière les barreaux pour des posts et parfois même pour de simples commentaires sur Facebook.
Par les comportements liberticides de la junte militaire, l'Algerie est dangereusement mise à l'index et dans le viseur des plus grandes ONG internationales des droits de l'Homme et a même été récemment épinglée par l'ONU.
Un pouvoir qui ira jusqu'à nommer un bougre ministre chargé de la dictature et de la répression des libertés au travers de Ammar Belhimer.
Jamais le système n'aura fait preuve d'autant d'indignité que depuis la prise officiel du pays par le pouvoir réel et qui fait certainement de l'Algerie, la dictature la plus violente, la plus idiote et la plus ridicule de la planète.
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