Le tribunal correctionnel de Drâa El Mizane (Tizi Ouzou) a prononcé, ce lundi, la relaxe en faveur de l’activiste Samir Hamri concernant l’accusation d’«incitation à attroupement non armé», indique le Comité national pour la libération des détenus (CNLD). Il a, par ailleurs, été condamné à une amende de «50 000 Da» pour «atteinte à la personne du président de la République» et «outrage à corps constitué», ajoute la même source.
Le procureur de la République a requis «six mois de prison assortie d’une amende de 100 000 Da», lors du procès qui s’est tenu le 1er mars dernier.
Durant la même journée, Said Moussaoui a été relaxé par la même juridiction, des accusations d’«incitation à attroupement non armé, atteinte à l’intégrité et à l’unité nationale, publication ayant pour but de porter atteinte à l’unité nationale», relatives à des faits qui remontent à juillet 2020.
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